«Je suis née dans l’humanitaire parce que toute ma famille a œuvré dans l’humanitaire. Après la disparition de mon père, j’ai toujours voulu continuer ses œuvres. Donc, j’ai rencontré mon époux au même moment, c’est ainsi qu’on a fait le brassage de l’idée du procès pour qu’en faire un seul. Donc lui, il voulait œuvrer dans tout ce qui était culturel. Moi, j’étais plus dans l’éducation, dans la santé et le social. Aujourd’hui, on ne peut pas parler de l’épanouissement de la culture de la jeunesse si on peut pas parler de l’éducation, de la santé qui est primaire. Voilà d’où le projet est né. Donc, la spécificité de ce projet, c’est que nous allons regrouper 5 grands volets de la vie humaine à savoir la culture, la santé, le social, l’éducation. Aujourd’hui, il y a des jeunes bien qu’ils aient du talent, c’est la formation qui manque. On ne peut pas non plus encadrer des jeunes qui, ont à la base ont besoin de remise à niveau et qui ont même besoin d’éducation, qui ont abandonné l’éducation par passion de la danse, de l’art. Donc,l’idée est aider tous ces jeunes pour s’épanouir», a t-il déclaré madame Koumbassa Alice Hawi.
Pour la réalisation de ce projet artistique ambitieux, la fondation “Je Danse » sollicite le soutien financier, matériel, institutionnel du président de la République, le colonel Mamadi Doumbouya et du premier ministre, Dr Bernard Goumou et de son gouvernement, les institutions nationales et internationales, mécènes, entreprises et toutes les personnes de bonne volonté.
